CJPCA – Chantiers de Jeunes Provence Côte d’Azur

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Nos anciennes réalisations

La Batterie de la Convention de l’Île Ste-Marguerite à Cannes

Réaménager l'intérieur de la Batterie de la Convention

La Batterie de la Convention est un petit fortin situé à la pointe Est de l’île Sainte Marguerite, en baie de Cannes. Son insularité et les deux kilomètres la séparant du Fort Royal en font un lieu isolé entre mer et forêt où les notions d’autonomie et de vie de groupe sont particulièrement présentes.

Inscrit au titre des monuments historiques le 6 Juin 1933, cet ancien bâtiment militaire, cubique, aux façades symétriques avec un toit terrasse, est entouré d’une douve. Il est composé de dix pièces desservies par un couloir central.

Les jeunes participaient à tous les moments de vie collective : entretien du lieu de vie, organisation du planning d’activités… Ils faisaient les courses à Cannes et préparaient les repas. Ils logeaient au sein même de la Batterie dans des dortoirs de 6 à 8 lits.

Il s’agissait de préserver un patrimoine historique. Ce chantier consistaient à remettre en état l’ensemble des pièces que composent ce petit fortin en utilisant des techniques et matériaux traditionnels.

Le matin, l’activité chantier durait 5 heures. Les activités de l’après-midi étaient principalement axées sur la mer (catamaran, kayak de mer, baignade,…), des animations sont organisées par l’équipe d’animateurs et / ou le groupe durant le séjour (jeux, veillées, spectacle) en fonction des envies du groupe et du budget alloué aux activités.

La bergerie Lou Jas à Mouans-Sartoux

Remonter les murs en pierre et mettre en place la toiture

La Bergerie Lou Jas, située sur la commune de Mouans-Sartoux, est aux portes d’une forêt de plusieurs hectares. En restauration depuis 1998 avec la collaboration de l’Office Mouansois d’Action pour la Jeunesse, il s’agissait d’en faire une maison des associations principalement tournée vers l’environnement.
Le chantier consistait en des travaux de gros œuvre, remonter les murs en pierre, mettre en place la toiture, en utilisant des matériaux et des techniques traditionnelles de construction (travail à la chaux, taille de pierres…).

L’hébergement se faisait à l’école François Jacob. Les jeunes participaient à tous les moments de la vie collective, faisaient les courses à Cannes ainsi que les repas, entretenaient les lieux de vie…

Le matin, l’activité chantier durait 5 heures. Les activités de loisirs étaient axées sur la découverte du milieu naturel (escalade, VTT, canyoning, kayak, baignade..) mais aussi diverses activités de loisirs (visites, grands jeux…).

Les restanques de Notre-Dame de Verdelaye

Restauration de restanques

Nichée au cœur du Parc Naturel Régional des Préalpes d’Azur, la commune de Gréolières est une cité médiévale riche d’un patrimoine architectural et religieux. À l’est du village, au lieu-dit « La Ferrage », se dressent les ruines de la chapelle Notre de Dame de Verdelaye, le long d’une ancienne voie romaine et de ses nombreux vestiges encore extrêmement bien conservés.

Ce chantier consistait à la restauration « dans les règles de l’art » des nombreuses restanques qui entourent la chapelle Notre-Dame de Verdelaye, pour participer à la valorisation de l’ensemble du site.

Les jeunes participaient à tous les moments de la vie collective. Ils faisaient les courses et les repas, ainsi que l’entretien des lieux de vie. Ils logeaient en camp fixe sous tente (type marabout), à l’Ecole communale de Gréolières.

Le matin, l’activité chantier durait 5 heures. Les activités de loisirs étaient axées sur la découverte du milieu naturel (escalade, VTT, canyoning, kayak, baignade..), mais aussi diverses activités de loisirs (visites, grands jeux…). 

Le pigeonnier d’Isola

Reconstruction du pigeonnier

Le pigeonnier, que les chantiers de jeunes ont restauré, se situe sur les hauteurs du petit village d’Isola, au milieu d’une châtaigneraie. Ravagé par un incendie, il fut partiellement détruit, puis abandonné.

Le chantier consistait à reconstruire les trois étages du pigeonnier ainsi que sa toiture entièrement en Mélèze.

Les jeunes participaient à tous les moments de la vie collective, faisaient les courses et les repas, ainsi que l’entretien des lieux de vie. Ils étaient logés au camping du village.

Le matin, l’activité chantier durait 5 heures. Les activités de loisirs étaient axées sur la découverte du milieu montagnard (escalade, VTT, canyoning, kayak, baignade..), mais aussi diverses activités de loisirs (visites, grands jeux…).

La restauration des restanques de la Mourachonne à Mouans-Sartoux

Restauration de restanques

La Commune de Mouans-Sartoux est riche d’un patrimoine de 200 ha de forêt dont certaines parties furent des terrains agricoles, et souhaite le valoriser, le protéger et mieux le faire connaître, conformément aux dispositions de l’Agenda 21 de la Collectivité : « Préserver le patrimoine et les ressources naturels, en limitant énergie, déchets, nuisances et risques », « assurer la pérennité des écosystèmes et de l’espace forestier ». Les restanques se trouvent sur une parcelle communale de la ville de Mouans-Sartoux situées au bord de la rivière de la Mourachonne. En adéquation avec ces objectifs, les C.J.P.C.A ont proposé la mise en place d’un chantier « environnement/patrimoine » qui s’est effectué près du vallon de la Mourachonne, le long d’une partie du sentier botanique créé en 2006.

Ce chantier consistait à la restauration « dans les règles de l’art » des nombreuses restanques effondrées. Un  sentier botanique a été aménagé et remis en état. 

L’hébergement se faisait au camping situé à Mandelieu la Napoule. Les jeunes participaient à tous les moments de la vie collective, faisaient les courses à Mandelieu la Napoule, préparaient les repas, entretenaient les lieux de vie…

Le matin, l’activité chantier durait 5 heures. Les activités de loisirs étaient axées sur la découverte du milieu naturel (escalade, VTT, canyoning, kayak, baignade..), mais aussi diverses activités de loisirs (visites, grands jeux…). 

Le canal Maïa de Montauroux

Remise en valeur du canal Maïa

Montauroux est un petit village du Var accroché à une colline dominant la plaine de Fayence.

Le chantier consistait à la remise en valeur du canal Maïa, utilisé jusqu’au XIXème siècle. Cette action répondait à un objectif de préservation du patrimoine bâti hydraulique de la commune. Les jeunes participaient à l’entretien, la rénovation et la mise en valeur du canal, et de l’ancien aqueduc.

Les jeunes participaient à tous les moments de la vie collective, faisaient les courses et les repas, ainsi que l’entretien des lieux de vie. Ils étaient logés en camp fixe sur le stade du Défend.

Le matin, l’activité chantier durait 5 heures. Les activités de loisirs étaient axées sur la découverte du milieu naturel (escalade, VTT, canyoning, kayak, baignade..), mais aussi diverses activités de loisirs (visites, grands jeux…). 

Le moulin à huile de Drap

Restauration du moulin
Terre d’agriculture, la Ville de Drap possède un moulin à huile de type génois, comme ceux de l’ancien comté de Nice. Construit en calcaire de la Turbie et bois de sorbier, il date du XVIIIe. Ce système, très localisé dans la vallée du Paillon, employait énormément d’eau (procédé de densité). Le moulin était mû par la force hydraulique. Un canal d’amenée d’eau est creusé dès le XVIIè siècle afin de capter l’eau du Paillon et la canaliser jusqu’au bourg. Le Moulin à huile est entré dans le patrimoine de la commune en 1946, date à laquelle la coopérative a été créée, à l’initiative de Pierre Cauvin. Le moulin a été mis aux normes européennes mais pas en totalité, de ce fait il est uniquement destiné à l’auto consommation. L’Agence de l’eau, suivant les normes d’hygiène et de sécurité en vigueur, a fixé la limite de consommation d’eau à 20 tonnes. En France, il est le seul en fonctionnement.

Le chantier consistait à remettre en état et embellir les deux pièces et le parvis du moulin, de restaurer l’alambic datant de 1950, ainsi que de restaurer le système de meules et de roues qui étaient usées.

 Les jeunes participaient à tous les moments de la vie collective, faisaient les courses et les repas, ainsi que l’entretien des lieux de vie. Ils étaient logés en camp fixe dans l’ancienne école primaire communale.

Le matin, l’activité chantier durait 5 heures. Les activités de loisirs étaient axées sur la découverte du milieu montagnard (escalade, VTT, canyoning, kayak, baignade..), mais aussi diverses activités de loisirs (visites, grands jeux…).